Cérémonie des voeux 2025

Président de la communauté de communes du Pays bigouden sud

Ci-dessous l’intégralité du discours prononcé vendredi 31 janvier par Stéphane Le Doaré, président, à l’occasion de la crémonié des voeux 2025 de la CCPBS.

Mesdames et messieurs, chers habitants du Pays bigouden sud,
Madame la députée

Monsieur le sénateur

Monsieur le préfet

Monsieur le président du conseil régional

Monsieur le président du conseil départemental

Mesdames et messieurs les représentants des corps constitués

Mesdames et messieurs les élus communautaires et municipaux

Mesdames et messieurs les agents de la CCPBS

Mesdames et messieurs les acteurs économiques du territoire, les responsables d’association

Chers habitants du Pays bigouden sud

En ce 31 janvier, c’est un honneur pour moi de vous présenter, au nom de l’ensemble de l’équipe communautaire, nos vœux les plus chaleureux pour une année 2025 en joies, en santé, en succès.

Il me revient l’honneur de clore ce chapitre des vœux car je mets un point d’honneur à respecter les communes laissant ainsi le soin à chaque maire de présenter ses vœux à ses administrés.

Ce marathon, ou cette troménie selon vos croyances ou vos pratiques sportives s’achève aujourd’hui. Ces vœux intercommunaux sont à la fois ceux de l’intercommunalité mais aussi ceux de chaque commune qui la compose via les compétences transférées et mutualisées.

Que cette nouvelle année soit l’occasion de renforcer les liens qui nous unissent, de partager des moments de bonheur et de solidarité, et de construire ensemble un avenir toujours plus prometteur pour notre beau territoire. Le plus beau du Finistère bien évidemment ou à défaut le plus maritime de France avec 11 communes littorales sur 12 (bien que la 12e soit également bordée d’eau mais de l’eau douce pour abreuver nos habitants).

Si je n’avais qu’un seul vœu, ce serait celui de l’unité pour faire face au brouillard ambiant qui règne au niveau national. L’absence de projet de loi de finances nous plonge toutes et tous dans un flou artistique ou nul ne sait de quoi sera demain fait. Ici plus qu’ailleurs, on sait ce que c’est que de vivre en pleine tempête et les administrés peuvent compter sur leurs élus locaux pour les aider à arriver à bon port. Si nous avons parfois des divergences de vue au sein de notre collectivité, c’est ici un signe que notre collectivité est vivante et qu’elle se pose sainement les bonnes questions pour son avenir pour ne laisser personne au bord du chemin.

À ce sujet, Winston Churchill disait : “Si deux hommes ont toujours la même opinion, l’un d’eux est de trop.”

La communauté de communes est la maison des communes, ce siège récemment agrandi est le nôtre que dis-je est le vôtre. C’est l’union de nos forces, c’est la richesse de nos idées qui nous permettront de prendre les meilleures décisions dans l’intérêt général du Pays bigouden sud dans l’objectif d’apporter un service public de qualité à l’ensemble de nos habitants et ce, conformément au projet de territoire que nous avons bâti collégialement.

L’année qui s’achève a été riche en réalisations pour notre Pays bigouden sud.Je vais vous présenter les plus emblématiques, dans un objectif d’être concis mais pas forcément.

Comme disait Paul Éluard : “Il nous faut peu de mots pour exprimer l’essentiel”.

Nous avons travaillé avec passion et détermination pour améliorer votre quotidien, développer notre économie locale, et préserver notre environnement exceptionnel. Nous le faisons dans un contexte, qui pardonnez mon euphémisme, ne nous est pas favorable. Notre territoire est beau, préservé, nous contribuons à le faire vivre, le développer, le sauvegarder. Il est bordé de littoraux, c’est son ADN, notre ADN… Mais cet ADN est menacé et nous avons deux grands défis à relever.

Le premier et le principal est bien évidemment le soutien sans faille que nous avons envers l’accompagnement de notre filière pêche et produits de la mer. Je ne vais pas vous refaire l’historique, ni vous redresser le contexte que vous connaissez tout aussi bien que moi. Vous trouverez tout dans notre prochain numéro de Sud Bigouden qui sortira en février.

La filière pêche et produits de la mer vis une crise, une énième crise. Celle-ci est forte. Elle est peut-être sans précédent. La réduction de la flottille, la fermeture du Golfe de Gascogne pour préserver les dauphins (en souhaitant qu’en mer, ils ne deviennent pas ce que nous connaissons avec les sangliers sur la terre), la hausse du prix du gazole, l’importation massive de poisson… bref, tous les éléments se déchainent. Or, nous avons l’une des pêches les plus vertueuses du monde, nous contribuons à la souveraineté alimentaire de la France. La pêche et la mer, sont notre identité, notre culture. Nous nous battons aux côtés de tous les professionnels depuis des mois parce que nous croyons en eux ! Nous sommes fiers de nos marins, de nos mareyeurs, de tous les professionnels. Nous, localement, sommes convaincus qu’elle a un avenir. Il suffit d’aller sur les quais, au lycée maritime… d’entendre ces jeunes qui croient en leur passion. Qui sommes-nous pour leur briser leur rêve ! C’est pour cela que je me lève tous les matins, que tous les élus communautaires œuvrent, que tous les maires des communes portuaires se battent. Même si ce n’est pas facile, si on nous met des bâtons dans les roues, si les éléments sont contre nous… nous ne lâchons pas et ne lâcherons jamais. Nous avons bien compris que demain ne sera plus jamais comme hier, que les bateaux détruits ne reviendront pas, pas plus que les quotas rendus, et ce malgré la ressource en nombre devant nos côtes. Il nous faut écrire un nouveau modèle économique pour cette filière structurante pour notre avenir. Nous devons redevenir une place forte de débarque du poisson en France.

Nous savons que notre marge de manœuvre est limitée, que nous avons, peu de leviers mais nous avons notre détermination, notre caractère bigouden qui nous a mené à remporter de nombreuses luttes. Ensemble, avec tous les professionnels, nous faisons entendre notre voix. Ici, dans le Finistère, en Bretagne en France et au niveau européen. Nous savons que c’est à ce niveau que se joue notre avenir et c’est là que nous mène notre action. Aussi je vous demande symboliquement d’applaudir toutes cette filière et toutes celles et ceux qui agissent pour son avenir !

Merci

L’autre grand défi est lié au changement climatique, à la montée des eaux qui menace notre littoral.

Cela ne vous aura pas échappé, puisque nous avons les honneurs de toute la presse locale et nationale (on aurait préféré l’avoir pour d’autres sujets).

Notre territoire est particulièrement exposé aux risques littoraux. En conscience, nous avons décidé de racheter sept maisons à Lehan. Celles-ci sont menacées par le risque de submersion marine. Après avoir mené toutes les études avec les services de l’État et un cabinet d’expert, il s’avère qu’aucune autre solution pérenne ne pouvait les protéger.

Enrochement, renforcement dunaire, plantation d’oyats, aménagement de digues etc. ces mesures ne suffisent pas toujours à garantir la sécurité des personnes et des biens sur le long terme.

Il faut savoir reconnaître que la nature est plus forte que nous. Et c’est le cas à Lehan ou malgré tout, nous construirons des dunes retro littorales pour protéger quelque 300 habitations à Treffiagat.

Nous agissons dans le cadre de notre Papi (programme d’action de prévention des inondations) lancé en 2019. Celui-ci nous a permis de lancer des études stratégiques de défense contre la mer sur l’ensemble des bassins à risque submersion de notre territoire. D’autres aménagements sont en études à Combrit Ile-Tudy, La Joie (Penmarc’h), Ster Kerdour et Poulluen (Loctudy) et se concrétiseront d’ici à 2030 pour un coût estimé à près de 25 M€ dont 8,7 millions de reste à charge pour la CCPBS.

Si l’on poursuit sur les projets structurant de la collectivité, ce qui rythme le mandat c’est l’élaboration de notre premier plan local d’urbanisme intercommunal valant programme local de l’habitat. Il constitue notre document de planification stratégique qui définira, pour les 10 prochaines années, les grandes orientations de l’aménagement du territoire en vue d’assurer un développement cohérent. Il devrait être adopté en 2026. Je tiens à souligner le travail remarquable de Yannick Le Moigne et de ses équipes qui portent ce projet de manière exemplaire. Je remercie également les élus et les agents des communes conscients de l’intérêt communautaire. Nous avons encore beaucoup de chemin à parcourir en premier lieu l’examen des orientations du programme d’aménagement et de développent durables. Il a été élaboré en suivant un fil conducteur : le respect de la capacité d’accueil du territoire. Il est organisé autour de deux axes principaux. Le premier : accueillir et maintenir les habitants. Le second : un développement durable. Le tout dans le respect des ressources disponibles.

De grands défis pour notre territoire contraint notamment par la Loi climat et résilience qui limite notre consommation foncière. Nous allons devoir faire preuve de créativité !

Mais cela tombe bien car nous n’en manquons pas. Nous serons inventifs en matière d’habitat pour soutenir la création de logements abordables en résidences principales. Nous investirons plus de 2 M€ d’ici à 2030. Nous expérimentons aussi le dispositif Tiss’âge un dispositif d’habitat partagé pour favoriser l’accès à un logement et le lien social.

Parmi nos principales réalisations, je tiens à souligner :

  • L’extension du siège communautaire. C’était une nécessité. Nos services se développent au rythme des prises de compétences, au rythme des défis toujours plus nombreux, au rythme de notre volonté d’agir pour notre territoire. Pour cela, nous avons dû renforcer nos équipes. Ce siège nous a permis également de regrouper en un seul lieu l’ensemble du personnel administratif nous permettant de gagner en cohérence et en efficacité. Nous bénéficions en plus d’une salle de conseil. Ce n’est pas un luxe car nous n’en avions pas auparavant, et nous devions délocaliser nos instances dans les communes. Je les remercie pour leur accueil tout au long de ces années.
  • Avec ce siège, nous avons souhaité être exemplaire en matière de production d’énergies renouvelables et de limitation de notre impact carbone. Les ombrières sur le parking sont munies de panneaux photovoltaïques et nous avons créé une chaufferie bois pour chauffer ce bâtiment, ainsi que les bassins d’AquaSud.
    Ces projets sont les prémices de notre plan climat air énergie territorial dont les objectifs sont d’adapter le territoire aux changements climatiques, de sauvegarder les puits de carbone et de biodiversité, de réinventer les mobilités et de s’engager dans la sobriété et le développement des énergies renouvelables.
  • En matière de mobilités, que de chemin parcouru depuis notre prise de compétence en 2021 ! Preuve que nous n’avons pas pédalé dans la semoule ou mouliné du braquet sans avancer. Et c’est d’ailleurs la raison pour laquelle nous avons choisi cette thématique pour illustrer nos vœux ! Nous avons adopté notre schéma vélo communautaire en décembre 2022 et nous avons été lauréat de l’appel à programme “territoire cyclables” de l’État. Nous disposons d’une enveloppe de 5 300 000 € pour réaliser 100 km de réseau cyclable à l’horizon 2029. Au total, ce sont plus de 20 M€ qui seront investis d’ici à 2029 avec les aides du département, le fonds de concours des communes et notre autofinancement pour établir un maillage cohérent et fluide de notre territoire pour tous les usages.
  • La transition est toute trouvée pour parler de l’eau. En 2024, nous avons inauguré la station de pompage directement dans la retenue du Moulin neuf. Un projet qui datait de plus de 10 ans. C’est une immense avancée pour sécuriser la prise d’eau. Ce projet exemplaire qui nous permet d’économiser environ 300 000 m3 d’eau soit 30 jours de consommation.

    En matière environnementale et d’inclusion, c’est également un progrès. Les bassins d’exhaure à Pen Enez seront renaturés. Et un parcours de 800 m a été aménagé autour de la retenue du Moulin neuf pour les personnes à mobilité réduite.

    En 2025, la construction des bâches de stockage d’eau à Bringall sera finalisée nous permettant enfin de bénéficier d’une journée de stock de notre consommation d’eau afin de sécuriser notre approvisionnement et palier tout problème à l’usine de Bringall (Juan Louissse).
  • Si l’on poursuit le fil de l’eau, nous arrivons logiquement à notre compétence assainissement. C’est un service qui fonctionne bien et qui a de nombreux besoins et projets. Nous les avons regroupés dans un schéma directeur que nous venons d’adopter et qui vise à réduire les dysfonctionnements, les rejets de pollution et les surcoûts d’exploitation. Les investissements qui en découlent sont colossaux. Nous les estimons à 25 – 30 millions sur 10 ans entre le renouvellement des réseaux et surtout l’effacement de la station d’épuration de Treffiagat menacée par la submersion qui pourrait être compensée par l’agrandissement et la modernisation de la station de Plobannalec-Lesconil !
  • Il nous faudra faire preuve de solidarités. Nous n’en manquons pas. Vous me voyez arriver. Je vais bien sûr évoquer nos projets en lien avec notre compétence solidarités. Solidarités envers les enfants, les jeunes, les parents et nos ainés.

    Nous avons réalisé, en 2024, un diagnostic des besoins sociaux afin de définir une politique de développement social adaptée aux enjeux du Pays bigouden sud. Cette étude s’inscrit dans notre conventionnement avec la CAF. L’objectif est de structurer un projet social de territoire cohérent et renforcer la coordination entre les acteurs locaux. Ce travail prépare la co-construction d’actions concrètes pour répondre aux attentes des habitants en matière de services, d’accès aux droits et d’inclusion sociale (tout un programme).

    Des projets sont déjà en cours pour répondre aux besoins des parents en matière d’accueil collectif des jeunes enfants avec l’aménagement de deux micro-crèches. La première à Combrit dont les travaux devraient débuter au second semestre pour une ouverture potentielle en janvier 2027 et la seconde au Guilvinec. Le début des travaux sera là programmé en janvier 2026 pour une ouverture en janvier 2028. Cela représente un investissement total est de 1, 8 M€ TTC.
  • Ces deux aménagements concourent à garder nos jeunes ménages sur notre territoire car oui, il y a du travail en Pays bigouden. Notre territoire est économiquement attractif. Au-delà de notre soutien à la filière pêche et agricole, nous poursuivons notre rôle de facilitateur d’implantation des entreprises. Cela passe par l’accompagnement des porteurs de projets par nos services et aussi par la mise en œuvre d’une stratégie foncière pour développer de nouvelles zones d’activités économiques comme à Kerargont et Prat Gouzien.

    Le site de Kerargont aura une vocation économique mais également d’intérêt général puis que c’est là que nous avons décidé d’aménager un crématorium. Cet équipement structurant est devenu une impérieuse nécessité lorsque l’on connait les délais d’attente pour une crémation en Cornouaille ! Parfois plus de 10 jours.
  • Bon ce n’est pas facile de faire une transition ! Donc je ne m’y risquerai pas. Je vais évoquer le tourisme. 2024 a été marquée par un rapprochement accru avec le haut Pays bigouden. Merci à Jean-Luc Tanneau et Lisbeth Van Horne. Nous partageons désormais des ambitions communes : un accueil de qualité et le développement raisonné du tourisme en préservant nos espaces sensibles. En 2025, les priorités seront la réalisation de magazines en commun et la refonte du site Internet.

    De notre côté, nous poursuivrons notre travail autour de l’amélioration de l’accueil et son adaptation aux nouveaux usages des visiteurs qui je vous le rappelle fréquentent moins les bureaux d’information touristique puisque la fréquentation a été divisée par quatre ces dernières années.
  • En matière de site emblématique, 2025 verra la fin des travaux de réhabilitation de la chapelle de Tronoën et la mise en place d’animations et d’aménagement pour l’inauguration. Plus de 3 ans de travaux, sans parler du Calvaire qui lui fait l’objet d’une concertation d’un comité scientifique, vous l’avez compris, ce fut et ça reste très sportif !
  • De sport, il est en question dans notre Stade Bigouden qui a connu et va connaître des aménagements. Un espace de fitness en accès libre y verra le jour. La piste sera nettoyée pour accueillir un gros meeting le 10 mai (sans parler du championnat du Finistère, du championnat de Bretagne ou des interclubs). Ainsi, le 10 mai Agathe Guillemot tentera d’établir un nouveau record de France du 1 000 m sur ses terres, sur ce stade qui l’a vu grandir pour atteindre les sommets mondiaux ! Si le stade est un très bel équipement, notre piscine AquaSud l’est tout autant. Une de nos fiertés est le lancement du projet pédagogique à destination des enfants. Les équipes d’AquaSud ont imaginé un jeu de cartes à collectionner. Pour obtenir ces cartes, il faut acquérir des compétences en natation ce qui développe une vraie soif d’apprendre de façon ludique !

    Les animations et les cours rencontrent également un franc succès en jouant régulièrement à guichets fermés. Vous l’aurez compris afin de satisfaire le plus grand nombre et pour répondra aux nouveaux besoins de nos administrés, à l’aube de ses 20 ans, notre piscine va bénéficier d’une réhabilitation et d’une extension pour devenir un parc aquatique. Parmi les nouveaux équipements figurent un bassin nordique, un espace ludique pour petits et grands avec des jeux aquatiques, un pentagliss et pour la récupération un espace bien être avec spa sauna et hammam. L’investissement est estimé à 6,1 M€ TTC pour une fin des travaux en septembre 2027.
  • L’autre équipement majeur et structurant que nous allons construire est la maison France service et de l’économie (nous sommes sans doute le dernier EPCI du Finistère à ne pas en bénéficier). Ce lieu verra le jour dans le quartier de la gare à Pont-l’Abbé, il a pour ambition d’accompagner tous les publics, de rapprocher et de faciliter l’accès aux services du quotidien (sécurité sociale, permanences de la CAF des services du Trésor public, etc.). En matière économique, cette maison renforcera la dynamique locale. Elle proposera notamment des bureaux à la location à tarifs modérés. Cet équipement essentiel pour notre territoire représente un investissement d’un montant de 5,8 M€ pour une réception en avril 2028.

Je ne vais pas faire plus long, je l’ai déjà été trop. Vous noterez que je n’ai pas mentionné une de nos compétences historiques qui concerne la collecte et la gestion des déchets. Il n’y a pas de fait majeur cette année mais nous auront à y travailler en 2025 pour envisager l’avenir qui sera donné au site de Lezinadou.

Comme vous pouvez le constater, les actions, les projets et les stratégies sont nombreux. Je suis fier tout comme l’ensemble des élus d’y participer modestement. Je tiens ici tout particulièrement à remercier l’ensemble des agents de notre collectivité qui œuvrent à leur élaboration et à leur déploiement. Sans leur investissement au sein de notre collectivité à votre service, rien ne serait possible.

Sortez vos agendas car je vous fixe quelques rendez-vous pour de nombreux événements mis en place par la communauté de communes ou pour lesquels nous sommes partenaires à savoir :

  • Le carrefour des métiers du maritime le 6 février au Triskell
  • Le forum des aidants le 4 avril au Triskell
  • L’odyssée Bigoudène le 10 mai à Sainte Marine
  • À cette même date, le meeting d’athlétisme au stade bigouden
  • Et bien d’autres à venir

Je finirais une nouvelle fois par citer un inspirateur, ce bon Winston Churchill qui disait “Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité, un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté.”

Je vous renouvelle à toutes et tous au nom de l’ensemble des équipes communautaires mes meilleurs vœux pour cette année 2025. Ensemble, gardons la pêche.

Bloavez mad. Ha yec’hed mad.